[:en](english soon)

Ce « work in progress » pour 200 spectateurs se joue in-situ, dans des musées, lieux insolites, salles de spectacle.
Les spectateurs sont proches des artistes.
La scène est éclairée avec la lumière naturelle du lieu.

Cette création est le prélude d’un travail autour des suites pour violoncelle seul de Bach.

Sonia Wieder-Atherton occupe incontestablement une place singulière dans le paysage musical d’aujourd’hui. Née à San Francisco, formée à Paris et à Moscou, elle est avant tout une inlassable chercheuse pour qui la création ne connaît aucune limite. Déjouer les présupposés, transgresser les frontières et les étiquettes, tels sont les maîtres-mots de Sonia Wieder-Atherton qui a toujours aspiré à « faire de la musique une langue ouverte au monde ». Son jeu, son style, donnent au violoncelle un son proche de la voix humaine, chargé d’émotions puissantes et authentiques.

Aux côtés de Shantala et  sous le regard complice de Stéphane Ricordel, elles nous proposent une improvisation sur une suite de Bach, première pierre d’un spectacle à venir.

Cette exploration naît de la rencontre entre la violoncelliste Sonia Wieder-Atherton, la danseuse Indienne et contemporaine Shantala Shivalingappa, et le metteur en scène Stéphane Ricordel.

durée: 25 min

_____________________

Un fauteuil pour l’orchestre, critique du 24 juillet 2017[:fr]

Ce « work in progress » pour 200 spectateurs se joue in-situ, dans des musées, lieux insolites, salles de spectacle.
Les spectateurs sont proches des artistes.
La scène est éclairée avec la lumière naturelle du lieu.

Cette création est le prélude d’un travail autour des suites pour violoncelle seul de Bach.

Sonia Wieder-Atherton occupe incontestablement une place singulière dans le paysage musical d’aujourd’hui. Née à San Francisco, formée à Paris et à Moscou, elle est avant tout une inlassable chercheuse pour qui la création ne connaît aucune limite. Déjouer les présupposés, transgresser les frontières et les étiquettes, tels sont les maîtres-mots de Sonia Wieder-Atherton qui a toujours aspiré à « faire de la musique une langue ouverte au monde ». Son jeu, son style, donnent au violoncelle un son proche de la voix humaine, chargé d’émotions puissantes et authentiques.

Aux côtés de Shantala et  sous le regard complice de Stéphane Ricordel, elles nous proposent une improvisation sur une suite de Bach, première pierre d’un spectacle à venir.

Cette exploration naît de la rencontre entre la violoncelliste Sonia Wieder-Atherton, la danseuse Indienne et contemporaine Shantala Shivalingappa, et le metteur en scène Stéphane Ricordel.

durée: 25 min

_____________________

Un fauteuil pour l’orchestre, critique du 24 juillet 2017

[:]